Les travailleurs en Nouvelle-Écosse seront indemnisés pour du harcèlement au travail

Dès septembre, les travailleurs en Nouvelle-Écosse pourront être indemnisés pour un plus grand nombre de maladies professionnelles.

La Commission des accidents du travail de la Nouvelle-Écosse peut déjà indemniser les travailleurs pour des blessures physiques résultant d’un accident de travail et pour le syndrome de stress post-traumatique.

La province vient de modifier la Loi sur l’indemnisation des accidentés du travail pour inclure les blessures psychologiques à développement graduel.

Elles apparaissent graduellement, au fil du temps, et sont généralement causées par du harcèlement et par de l’intimidation sur les lieux de travail, a expliqué vendredi en entrevue Karen Adams, cheffe de la direction de la Commission des accidents du travail de la Nouvelle-Écosse.

Manque de professionnels de la santé mentale

Les travailleurs qui souhaitent signaler des maladies professionnelles attribuables à ces situations pourront le faire à compter du 1er septembre. La Commission s’y prépare.

Sept autres provinces ont adopté ce genre de loi avant la Nouvelle-Écosse, dit Karen Adams. <q data-attributes="{"lang":{"value":"fr","label":"Français"},"value":{"html":"Nous pouvons donc prévoir quel nombre et quelles sortes de réclamations nous allons recevoir. Nous sommes prêts pour plusieurs centaines, jusqu’à 1000plaintes par année.","text":"Nous pouvons donc prévoir quel nombre et quelles sortes de réclamations nous allons recevoir. Nous sommes prêts pour plusieurs centaines, jusqu’à 1000plaintes par année."}} »>Nous pouvons donc prévoir le nombre et les types de réclamations que nous allons recevoir. Nous sommes prêts à en recevoir plusieurs centaines, jusqu’à 1000 plaintes par année.

À lire aussi :

Idéalement, un travailleur doit avoir l’avis d’un psychologue ou le diagnostic d’un psychiatre pour documenter ses symptômes. La Commission des accidents du travail sait bien qu’il est difficile de trouver un de ces praticiens en Nouvelle-Écosse qui accepte de nouveaux patients.

Elle aura donc ses propres psychologues et ses propres psychiatres, sous-traités des autres provinces. Lorsqu’un travailleur communiquera avec le bureau des accidents de travail, il pourra avoir accès à un de ces professionnels en santé mentale.

Karen Adams.

Karen Adams, cheffe de la direction de la Commission des accidents du travail de la Nouvelle-Écosse, en entrevue vendredi à Halifax.

Photo : Radio-Canada

Selon Karen Adams, les personnes qui veulent signaler une blessure psychologique apparue graduellement à cause de leur travail peuvent faire une réclamation jusqu’à deux ans après les faits, comme c’est le cas pour les blessures physiques ou pour celles causées par un événement traumatique.

Si une réclamation est acceptée, l’employé pourra demander un remboursement de ses frais médicaux et des heures de travail perdues. Karen Adams assure que tout travailleur qui communiquera avec le bureau sera dirigé vers l’aide psychologique et médicale appropriée, peu importe si la réclamation est acceptée ou non.

La Nouvelle-Écosse est la première province en Atlantique à inclure ce type de maladie professionnelle dans sa Loi sur l’indemnisation des accidentés du travail.

L’Île-du-Prince-Édouard envisage d’indemniser ses travailleurs pour certaines conséquences du harcèlement au travail, mais le gouvernement de cette province ne s’est pas encore donné de date pour le faire.

D’après le reportage d’Adrien Blanc

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« Il n’est pas normal de mourir au travail », la Bretagne compte-t-elle plus d’accidents que les autres régions

Deux personnes meurent au travail chaque jour, en France. Les accidents touchent les secteurs du BTP, de l’agriculture, de l’industrie, malgré les campagnes de prévention. En Bretagne, depuis le début de l’année, le travail a tué 9 salariés. Un collectif de familles de victimes veut briser le silence.

Depuis le début de l’année 2024, les accidents du travail, en Bretagne, ont coûté la vie à neuf personnes. Pour la plupart des hommes jeunes. En 2023, selon les données de l’inspection du travail, 29 Bretons sont morts au travail.

Les secteurs de l’agriculture, des transports et de l’industrie sont les plus touchés. Malgré les campagnes de sensibilisation, la sécurité des salariés est loin d’être assurée.

C’est sur un chantier d’Ille-et-Vilaine, à Lieuron, qu’Alban a fait une chute mortelle de cinq mètres, le 10 mars 2021, alors qu’il installait des panneaux solaires. « Il est mort le jour de ses 25 ans, relate sa mère. Il travaillait sur le toit d’un hangar, il y avait des tuiles en plastique et il est passé à travers ». Ni échafaudage ni filet ni harnais n’avaient été prévus pour le protéger.

La justice a condamné son employeur, en première instance, à 36 mois de prison dont 18 mois ferme. Le dossier est allé devant la cour d’appel de Rennes. « Le fait qu’il y ait de la prison ferme est un message important à l’attention de tous les employeurs, estime l’avocate de la famille d’Alban. Ils doivent se soucier de la sécurité de leurs salariés, pas seulement parce qu’il s’agit de la vie des gens mais parce qu’eux aussi peuvent être privés de liberté s’ils commettent des manquements graves ».

Au nord de Rennes, la construction d’un bâtiment vient d’être stoppée par deux inspecteurs du travail. Ces derniers prennent leur téléphone et appellent le patron de cette entreprise de BTP pour lui signifier la suspension immédiate des travaux. « Notre priorité, ce sont vos travailleurs, lui expliquent-ils. Et c’est non négociable ».

Sur place, au cours de leur contrôle, ils ont relevé plusieurs dysfonctionnements. Un échafaudage installé par des salariés qui n’ont pas été formés pour le faire, pas de garde-corps, des équipements de protection « incomplets », un accès au chantier avec un risque de chute à chaque passage des ouvriers. « Sur 10 contrôles, souligne l’un des inspecteurs, on prononce entre 3 et 4 arrêts. Ce n’est pas rare ».

Le collectif Familles, stop à la mort au travail, créé en 2023, se bat aux côtés de ceux et celles qui ont perdu un proche victime d’un accident mortel du travail. Il est venu soutenir la famille d’Alban lors des procès à Rennes. De même a-t-il organisé une marche blanche, le 24 février 2024 à Concarneau, « pour briser le silence autour d’un fait de société dont personne n’a conscience ».

À LIRE : Accident de travail mortel : « Depuis quand une faute d’inattention peut entraîner la mort ? »

« Il n’est pas normal de mourir au travail, dit ce collectif. Les familles des victimes ont bien l’intention de faire changer les choses ».

(Avec Sylvaine Salliou)

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Code du travail : une nouvelle loi augmente les congés pour tous les salariés

Une récente modification du Code du travail va impacter positivement le nombre de jours de congés pour les salariés français. Cette nouvelle loi, résultat de décisions de la Cour de cassation, est rétroactive, mais sous réserve de certaines conditions.

La récente évolution législative

Suite à des arrêts de la Cour de cassation qui aligne le droit français sur le droit européen, une nouvelle disposition est inscrite dans le Code du travail. Cette modification, entrée en vigueur le 24 avril 2024, rétroactive sous certaines conditions, impacte significativement l’acquisition des congés payés pour les salariés français.

Les implications de la nouvelle loi

Désormais, tout arrêt maladie, qu’il soit d’origine professionnelle ou non, donne droit à des congés payés. Cette mesure élargit les droits des salariés en assimilant les périodes d’arrêt pour maladie ou accident à du temps de travail effectif pour le calcul des congés. Elle concerne également les travailleurs temporaires en mission d’intérim.

Limites et précisions de la loi

Pour les arrêts non professionnels, le salarié acquiert 2 jours ouvrables de congés par mois, limités à 24 jours par an ou par période de référence. En revanche, en cas d’accident du travail ou de maladie professionnelle, le salarié conserve le droit à 2,5 jours ouvrables par mois, soit 30 jours par période de référence.

Obligations pour les employeurs

La loi impose également à l’employeur d’informer le salarié de son solde de congés et de la date limite pour les prendre, dans le mois suivant son retour au travail. De plus, elle fixe une période de report pour les congés non pris à cause de l’arrêt, laissant au salarié 15 mois pour les utiliser après réception des informations de l’employeur.

Source : Journaldunet.com

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Au tribunal de Colmar Accident du travail : deux orteils amputés, l’entreprise condamnée

En portant secours à un collègue dont le pied s’est retrouvé coincé sous le tambour d’un broyeur, qu’il faisait tourner avec ses pieds pour avoir accès aux lames à affûter, un affûteur d’une scierie de la région colmarienne, s’est gravement blessé à un pied. Une lame lui a sectionné deux orteils, qui ont dû être amputés, un troisième étant sérieusement abîmé.

La…

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Santé au travail : « Aujourd’hui, la quête de sens est essentielle pour les travailleurs »

l’essentiel Ce jeudi 16 mai était organisée au siège de La Dépêche du Midi une table ronde sur la thématique de la santé au travail. Plusieurs sujets y ont été abordés par des intervenants spécialistes de la question.

La question de la santé au travail est devenue un sujet d’envergure de notre époque. Selon des chiffres de la Mutualité Française, plus de 200 000 travailleurs décèdent chaque année de maladies professionnelles au sein de l’Union européenne. Dans ce sombre tableau, la France se situe malheureusement en haut du classement avec 3,5 accidents mortels du travail pour 100 000 personnes en emploi en 2019, un niveau deux fois supérieur à la moyenne européenne (1,7 accident mortel). Pire, 91 % des actifs indiquent avoir connu des difficultés de santé au travail. Des chiffres qui interpellent.

Face à ce constat préoccupant, ce jeudi 16 mai a eu lieu au siège de La Dépêche du Midi une table ronde intitulée « Le travail, c’est la santé ? « , sur le sujet, vous l’aurez compris, de la santé dans le monde professionnel. Cet événement – organisé par la Mutualité Française Occitanie en partenariat avec l’agence de communication Evelyne – était animé par la journaliste Sophie Voinis. Trois intervenants étaient présents pour participer aux débats : Mireille Bruyère, économiste, maîtresse de conférences et chercheuse au sein du laboratoire Certop (Centre d’étude et de recherche travail, organisation, pouvoir) de l’Université de Toulouse Jean-Jaurès ; Isabelle Ricard, Mandatée CFDT / Vice-présidente du CROCT (Comité d’orientation et des conditions de travail) et enfin Ronan Malgoyre, en charge des risques professionnels à la Carsat Midi-Pyrénées.

A lire aussi : Mutualité Française Occitanie « La santé au travail est un élément clé de la performance globale de l’entreprise »

Prévenir à travers l’éducation

Pour Isabelle Ricard, l’action passe avant tout par la prévention : « Il y a une vraie éducation à faire au sein des écoles et des CFA » pour que les jeunes soient sensibilisés à ces questions avant même de pénétrer le marché du travail. Car aujourd’hui, les travailleurs ne sont que trop peu accompagnés face à ces risques de santé mentale et physique : seuls 43 % des dirigeants indiquent avoir mis en place au sein de leur entreprise une politique globale de prévention en matière de santé au travail alors que 52 % des actifs se sentent mal informés sur le sujet, avance la Mutualité Française. Un constat révélateur pour Ronan Malgoyre, qui estime qu’il faut « davantage accompagner les entreprises dans leur schéma de prévention. Si l’objectif premier d’un chef d’entreprise est de faire de la rentabilité, pour y arriver, il a besoin de salariés motivés qui ne se tuent pas à la tâche ».

Quête de sens au travail

La santé au travail passe également par un environnement de qualité autour du salarié. Si les entreprises ont multiplié les campagnes de responsabilité sociale (RSE) ces dernières années, « attention à l’effet d’affichage, alerte Ronan Malgoyre. Ce n’est pas en mettant un baby-foot au milieu de l’open space qu’on règle tous les soucis des salariés ». La quête de sens s’inscrit aussi dans le défi d’une meilleure santé dans son environnement professionnel. « S’épanouir au travail n’était pas une priorité auparavant, explique Mireille Bruyère. Mais il y a eu un tournant dans les années 1990. Aujourd’hui, la quête de sens au travail est essentielle pour les travailleurs ». Les chiffres parlent en effet d’eux-mêmes : En 2023, selon un rapport de l’association Projet Sens, 43 % des actifs envisageaient de quitter, dans les deux ans, leur emploi pour un autre ayant plus de sens.

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Peggy Paterek : du ménage à la vente de thés

Après avoir été agent d’entretien, faisant le nettoyage de bureaux d’entreprises tertiaires pendant sept ans, Peggy Paterek, s’est décidée à la suite d’un accident du travail à tout lâcher.

Elle a créé « Aux Délices du Pays de Merveilles », un site internet marchand qui propose thés, infusions, tisanes, et petites gourmandises. Elle se sent beaucoup plus épanouie en donnant ainsi libre cours à sa passion. Elle aime la diversité des boissons qu’elle propose. Elle est installée chez elle à Haisnes, près de La Bassée.

Elle aime la variété de ses produits
Elle aime la variété de ses produits©Peggy Paterek

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Salarié d’Enedis mort au travail : à Pont-Aven, une cérémonie pour «rendre hommage à des personnes qui sont souvent invisibles»

Reportage

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La commune du Finistère a donné ce vendredi 17 mai le nom d’une voie publique à Frédéric Despaux, décédé début novembre alors qu’il intervenait sur des câbles électriques endommagés par la tempête Ciaran. Manière de «commémorer une forme de culture ouvrière» et de visibiliser le sujet de la mort au travail.

C’est un chemin bordé d’arbres et de fougères qui longe un terrain de foot et débouche sur une route bitumée. Au bout se trouve le gymnase de Pont-Aven (Finistère), celui qu’utilisent les élèves du collège de Penanroz situé juste à côté. Nul n’avait songé, jusque-là, à baptiser la chaussée d’asphalte qui encadre l’établissement sportif. L’anomalie, désormais, est réparée. Ce vendredi 17 mai, la mairie a donné à la voie publique le nom de Frédéric Despaux, en hommage à ce salarié d’Enedis décédé dans un accident du travail, électrocuté, le 4 novembre 2023 à Pont-Aven. C’est son épouse, Lydie, qui a retiré le voile blanc qui recouvrait la plaque («Cours Fred Despaux»), avant de fondre en larmes dans les bras de son fils. Parce que le défunt, ancien coach d’une équipe de basket et supporter de l’équipe de rugby du Stade toulousain, était amoureux de sport, elle avait souhaité que la rue qui porterait son nom soit à proximité du gymnase.

Frédéric Despaux est mort loin de chez lui. L’ouvrier, 46 ans et deux mètres de haut, vivait dans le Gers et travaillait à Auch. Début novembre, comme 2 400 de ses collègues du gestionnaire du réseau d’électricité français, il se porte volontaire pour intervenir en urgence dans une Bretagne

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Mauges. Un salarié du Groupe Brangeon retrouvé noyé sur un site de traitement de déchets verts

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Un salarié du Groupe Brangeon a été retrouvé inanimé, mercredi, au sein d’une plateforme de déchets verts de Saint-Rémy-en-Mauges. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de cet accident.

Saint-Rémy-en-Mauges (Montrevault-sur-Evre), les Epinettes, jeudi 16 mai. La victime effectuait l’entretien des espaces verts de ce site de traitements de déchets verts.
Saint-Rémy-en-Mauges (Montrevault-sur-Evre), les Epinettes, jeudi 16 mai. La victime effectuait l’entretien des espaces verts de ce site de traitements de déchets verts. | CO

  • Saint-Rémy-en-Mauges (Montrevault-sur-Evre), les Epinettes, jeudi 16 mai. La victime effectuait l’entretien des espaces verts de ce site de traitements de déchets verts.
    Saint-Rémy-en-Mauges (Montrevault-sur-Evre), les Epinettes, jeudi 16 mai. La victime effectuait l’entretien des espaces verts de ce site de traitements de déchets verts. | CO

Un dramatique accident du travail s’est produit mercredi 15 mai au sein d’une plateforme de déchets verts de Saint-Rémy-en-Mauges. Cette commune déléguée de Montrevault-sur-Evre, qui compte un peu moins de 1 500 habitants, est située au cœur des Mauges. Le Groupe Brangeon y exploite ce site de traitement des déchets depuis le début des années 2000.

Selon nos confrères d’Ouest France, qui ont révélé l’information, un salarié débroussaillait mercredi matin les berges d’une lagune lorsque l’accident…

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Éjectée d’un manège alors qu’elle profitait d’une journée avec ses enfants : les autorités diffusent la vidéo glaçante de l’accident

Une mère de famille de huit enfants a été catapultée d’un manège à Londres en 2018. Alors que trois hommes viennent d’être condamnés par le tribunal en lien avec l’accident, l’inspection du travail britannique a diffusé des images de cette terrible scène.

Elle a passé quatre mois à l’hôpital après avoir été catapultée d’un manège de fête foraine, le 10 avril 2018. Khadra Ali, mère de huit enfants, avait été éjecté du manège Xcelerator à la fête foraine Funderpark à Yiewsley, Hillingdon, rapporte la BBC.

Alors que trois hommes viennent d’être condamnés par le tribunal de Westminster le 7 mai dernier, en lien avec l’accident, l’inspection du travail britannique a diffusé des images de cette terrible scène.

Elle heurte la barrière et atterri sur le sol

Alors que le manège prend de la vitesse, la mère de famille, âgée de 45 ans à l’époque, crie à l’aide et s’accroche à la structure avant d’être éjectée, rapporte le Health and Safety Executive (HSE) soit l’inspection du travail britannique.

Hémorragie interne, traumatisme crânien…

Elle a heurté la barrière du manège suivant et a atterri sur le sol. Elle a passé les semaines suivantes dans le coma et quatre mois à l’hôpital, selon la BBC. Alors qu’elle passait juste un bon moment en famille, Khadra Ali a subi de multiples fractures au dos, aux hanches, au bassin, aux côtes, aux deux clavicules, ainsi qu’une hémorragie interne et un traumatisme crânien important.

« Mme Ali profitait simplement d’une journée avec ses enfants dans un environnement qu’elle pensait sûr », a déclaré l’inspectrice du travail Helen Donnelly, citée par le média britannique.

Poursuites pénales terminées

Un porte-parole de la victime a déclaré que la famille était « profondément soulagée » que les poursuites pénales soient terminées. DMG Technical Ltd a été condamnée à une amende de 59 4660 euros et doit payer 27 976 euros de frais.

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Les chutes de hauteur, 1ère cause d’accidents graves et mortels dans le BTP

Les chutes de hauteur : un accident du travail mortel sur cinq. © Freepik

Ce mardi 12 mai, l’OPPBTP lançait sa campagne nationale afin de faire évoluer les perceptions du risque chez les professionnels du BTP sur les chutes de hauteur : « Parce que ça n’arrive pas qu’aux autres » !

Ce mardi 12 mai, lors d’un table ronde, l’OPPBTP lançait une campagne nationale afin de faire évoluer les perceptions du risque chez les professionnels du BTP sur les chutes de hauteur, ces dernières représentant la première cause d’accidents graves et mortels  : « Parce que ça n’arrive pas qu’aux autres » !

Lors du lancement de la campagne, une table ronde a réuni (de gauche à droite) Christian Morel, médecin du travail, Nicolas Morel, chef d’entreprise, Pierre Ramain, directeur général du Travail, Anne Thiebeauld, directrice des risques professionnels à la Cnam et Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP, qui a déclaré : « Nous sommes fiers du travail de fond que nous avons réalisé ces 10 dernières années avec la campagne « Travaux en hauteur, pas droit à l’erreur ». Nous avons accompagné plus de 40 000 professionnels vers une meilleure prise en compte du risque de chute de hauteur, et avons observé de réels efforts en prévention au sein des entreprises. Néanmoins, tant que des accidents surviennent, des progrès restent à faire et la mobilisation doit continuer. Cette nouvelle étape de campagne est plus que jamais orientée sur le facteur humain. Nous espérons qu’elle permettra à de nombreux professionnels de sortir du déni du risque et de générer une véritable prise de conscience, parce que ça n’arrive pas qu’aux autres. » © OPPBTP

Les chutes de hauteur, 1ère cause d’accidents graves et mortels

Dans le BTP, les chutes de hauteur représentent la première cause d’accidents graves et mortels (hors risque routier et malaises). De fait, depuis 2014, l’OPPBTP et ses partenaires sont particulièrement engagés pour lutter contre ce risque majeur, notamment via la campagne de sensibilisation : « Travaux en hauteur, pas droit à l’erreur« .

Dix ans plus tard, l’Organisme souhaite donner une nouvelle impulsion à la mobilisation autour de ce risque toujours majeur dans les métiers du BTP, d’où la campagne du 21 mai au 5 juillet 2024, qui se veut axée sur le facteur humain et donne à prendre conscience des conséquences personnelles et professionnelles des chutes de hauteur, et ce en rappelant qu’il est possible de travailler en hauteur en sécurité.

L’affiche de la campagne 2024, avec les slogans « Parce que ça n’arrive pas qu’aux autres ! » et « Travaux en hauteur, pas droit à l’erreur ». © OPPTP

Pour ses campagnes, l’OPPBTP s’entoure de partenaires, dont :

– le Ministère du Travail,

– la Cnam,

– les Services de Prévention et de Santé au Travail BTP et interprofessionnels,

– et, enfin, la Caisse Nationale de Retraites des Agents des Collectivités Locales (CNRACL), gérée par la Caisse des Dépôts.

Les chutes de hauteur : un accident du travail mortel sur cinq

Dans le BTP, difficile de faire sans le travail en hauteur : depuis un toit, une échelle, un mur, un pylône, une passerelle, etc., les professionnels du secteur bâtiment et construction sont régulièrement exposés à la potentialité d’un risque de chute, pouvant avoir des conséquences irrémédiables. En effet, les chutes de hauteur représentent un accident du travail mortel sur cinq dans le BTP, d’après les chiffres de la Cnam (2021), ce qui en fait la première cause d’accidents graves et mortels dans le BTP. Sans compter que ces accidents ont des conséquences plus lourdes pour les victimes, ainsi que pour les entreprises : les arrêts de travail liés aux chutes de hauteur sont en moyenne de quatre mois, contre deux mois et demi pour les autres accidents.

Parmi les métiers les plus touchés par ces accidents, et sans surprise, on retrouve la charpente – couverture (40 %) et la maçonnerie – gros œuvre (24 %).
Une chute de hauteur sur deux est liée à une rupture de toiture fragile ou à un défaut d’équipement de protection collective.

Le « profil type » de la victime fait une chute de moins de trois mètres, est en CDI, travaille pour une TPE/PME (3/4 des accidents ont lieu dans des entreprises de moins de 50 salariés), intervient sur un chantier de rénovation, pour une intervention de courte durée, chez un client particulier. © OPPBTP

Faire évoluer les consciences

Mobilisé sur cette problématique majeure, l’OPPBTP et la Cnam ont accompagné depuis 2014 environ 3 000 entreprises afin de faire évoluer les consciences et proposer des solutions, dans le cadre de la campagne « Travaux en hauteur, pas droit à l’erreur ».

Toutefois, des situations à risques persistent et la mobilisation doit impérativement se poursuivre pour parvenir à réduire radicalement le nombre d’accidents du travail liés aux chutes de hauteur. Pour ce faire, une première enquête préliminaire de perception du risque a été menée par l’OPPBTP et les services de prévention santé au travail, auprès d’un large spectre d’entreprises : ainsi, durant un mois, 670 professionnels issus de 327 entreprises du BTP ont été interrogés, dont 38 % de couvreurs, 37 % de maçons et 25 % de charpentiers bois, et 239 chantiers ont été observés. L’étude a permis de mettre en lumière des chiffres éloquents :

– 9 professionnels sur 10 pensent que leur métier est dangereux : 75 % des chefs d’entreprises et 62 % des compagnons ont déjà vécu ou ont été témoin d’un accident de chute de hauteur, ont pleinement conscience qu’une chute même de faible hauteur peut être mortelle, et affirment cependant travailler sans équipement de sécurité au moins une fois par an ;

– La majorité des répondants trouvent que la hiérarchie prévoit les bons équipements en matière de protection contre les chutes de hauteur et que les protections collectives sont efficaces en cas de chute … et ce alors que 40 % des chantiers visités par les conseillers de l’OPPBTP ont été jugés moyens ou insuffisants en termes de sécurité ;

– 31 % des compagnons déclarent être gênés au quotidien par les protections collectives ;

– Sur les chantiers visités avec un bon niveau de sécurité, 46 % pensent que leurs clients ne s’intéressent pas à la sécurité, un chiffre grimpant à 80 % sur les chantiers visités avec un niveau de sécurité moyen alors même que 92 % des professionnels interrogés pensent qu’un échafaudage de pied est un plus pour l’image de marque de l’entreprise ;

– Enfin, 6 professionnels sur 10 en moyenne considèrent que les chutes ne sont pas le fait d’un manque d’expérience, mais 95 % sont convaincus qu’une bonne condition physique et mentale contribue à prévenir les accidents.
 

Une campagne de communication pour informer et sensibiliser

Forte de ses 10 ans d’existence, la campagne « Travaux en hauteur, pas droit à l’erreur » est aujourd’hui connue et reconnue par les entreprises du BTP. Toutefois, en 2024, l’OPPBTP souhaite provoquer un véritable déclic chez les professionnels, en ajoutant à cette campagne pérenne un slogan (« Parce que ça n’arrive pas qu’aux autres« ), comme en mettant en avant des « témoignages particulièrement parlants et des vidéos de fiction empreintes d’un registre émotionnel fort. », un court-métrage, des podcasts et vidéos, etc. En sus, l’OPPBTP adressera au cours de la campagne une lettre de la prévention aux 275 000 entreprises du BTP et le site dédié créé à l’occasion de la première édition de la campagne a été remis au goût du jour afin de permettre aux professionnels d’accéder facilement aux contenus d’information et de sensibilisation (affiches, outils, formations, conseils, techniques, webinaires, kit de sensibilisation clé en main est mis à disposition des formateurs de CFA, …).

Pour aider les artisans à convaincre leurs clients de l’importance capitale des équipements de protection collective, l’OPPBTP a également élaboré pour la première fois un outil argumentaire personnalisable qu’ils peuvent remettre à leur client afin de les inciter à s’engager à leurs côtés en prévention.

De plus, plus de 140 événements de sensibilisation, afin d’éveiller et de réveiller les esprits, seront organisés partout en France au mois de juin, avec l’objectif de réunir 6 000 professionnels.

« Travaux en hauteur, pas droit à l’erreur », 10 ans de mobilisation (ici, l’une des précédentes affiches de campagne de l’OPPBTP), qui a permis au fil des années de sensibiliser plus de 40 000 professionnels par le biais de multiples actions comme d’attester que le niveau de sécurité a augmenté de 25 % depuis 2014 dans les entreprises accompagnées par l’OPPBTP. © OPPBTP

Source : batirama.com / Laure Pophillat accidentdutravail-idf.net vous a préparé ce post qui informe du sujet « Association Sportive Huisson-Longueville Essonne ». La chronique se veut générée du mieux possible. Vous pouvez utiliser les coordonnées indiquées sur le site dans le but d’apporter des explications sur ce post qui parle du thème « Association Sportive Huisson-Longueville Essonne ». Le site accidentdutravail-idf.net a pour but de fournir diverses publications sur la thématique Association Sportive Huisson-Longueville Essonne diffusées sur le net. Il y aura plusieurs articles autour du sujet « Association Sportive Huisson-Longueville Essonne » dans quelques jours, nous vous invitons à naviguer sur notre site web à plusieurs reprises.

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